STROPHES EN TROP
Il me reste des restes
De toubibs et de toubabs
J’ai voulu jouer trop au nabab.
Il me suffit d’un geste
Tout m’est indigeste !
Il y a le flagorneur
Qui va flânant de fleur en fleur,
De pistil en pistils,
En s’enorgueillissant de sa flamme
Et de sa flemme.
Il va, Allant, de femme en femme
Peut - être juste pour la gagne !
Mais il a les mains remplies de peine
Alors il cherche la « ca-ompagne »
Un compromis de nature en pagne.
Il me reste des restes
De toubibs et de toubabs
J’ai voulu jouer trop au nabab.
Il me suffit d’un geste
Tout m’est indigeste !
Il y a le flagorneur
Qui va flânant de fleur en fleur,
De pistil en pistils,
En s’enorgueillissant de sa flamme
Et de sa flemme.
Il va, Allant, de femme en femme
Peut - être juste pour la gagne !
Mais il a les mains remplies de peine
Alors il cherche la « ca-ompagne »
Un compromis de nature en pagne.
Fabien Rogier dans Poésie.
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